Cette fête des amoureux très populaire en Occident prend chaque année de plus en plus d’importance en Algérie. Pourtant son origine est lointaine aussi bien historiquement que culturellement. La rédac’ de Dziriya.net a voulu savoir ce qu’en pensent les algériennes…
« Même si le principe de cette fête me laisse perplexe, j’ai toujours plaisir à recevoir des attentions particulières de celui que j’aime… »
Soraya, 23 ans
« Je n’aime pas la Saint-Valentin et lui aussi. Le problème est réglé. »
Myriem, 25 ans
« Je trouve que c’est une bonne occasion d’exprimer son amour pour l’être-aimé, c’est une bonne occasion de partager une soirée romantique mais ça ne doit pas être la seule et unique de l’année. »
Nawel, 33 ans
« Moi ce qui me ferai le plus plaisir c’est qu’il me surprenne et m’offre des cadeaux en dehors de cette fête. J’aurais trop l’impression qu’il le fait pour ne pas me froisser.»
Moufida, 21 ans
« Cette fête est totalement étrangère à nos coutumes, à notre religion. Alors pourquoi la fêter ?»
Nora, 41 ans
« Pour moi, c’est une occasion comme une autre de raviver la flamme et de prouver son amour après que la routine se soit installé dans le couple. »
Houria, 47 ans
« C’est bateau, j’ai toujours clamée haut et fort que ça ne me concernant pas mais depuis que mon mari ma offert une soirée à la Saint-Valentin je rêve de revivre d’autres Saint-Valentin. »
Nadia, 26 ans
« C’est une fête commerciale qui fait du bien aux fleuristes, aux bijoutiers et aux restaurants et donc à l’économie. Donc pourquoi pas ? »
Nabela, 28 ans